vendredi 8 octobre 2010

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Finalement, on n’écrit que pour celles et ceux à qui on ne peut pas parler, celles et ceux qu'on n’ose pas arrêter. Ce blog s’est, provisoirement peut-être, extenué. Son pouls est faible, sa respiration faites de tessons et de contingences. C’est une bouteille à la mer, une feuille sèche de palmier, une petite tessiture. Il passe, comme le disait joliment Leibniz des monades « à un plus petit théâtre ».