Comme mon regard
Plisse les lèvres
La peau est mate
Sourde à la neige
Découpée en vasques
Par le tissu étroit
La peau est sans visage
Une lampe de sable
Qui s’égrène
À la lumière
Sombre et sucrée
Qui inonde mon palais
Ce lait amer
Un réglisse imaginaire
24 v 2009
Plisse les lèvres
La peau est mate
Sourde à la neige
Découpée en vasques
Par le tissu étroit
La peau est sans visage
Une lampe de sable
Qui s’égrène
À la lumière
Sombre et sucrée
Qui inonde mon palais
Ce lait amer
Un réglisse imaginaire
24 v 2009
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