Je pense en morse, comme un iceberg, flottant dans les mers irréelles d’iroise grandeur.
Je suis sec ou trop humide peut-être pour décoller mes yeux des paupières de la brise qui m’assiège.
Je mange tout ce que je peux pour m’évider.
Je transite, la bouche aveugle, les yeux muets, la main fausse.
Je suis une écriture automatique.
J’essuie.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire