Fantôme
est mon sommeil
Ainsi
que du plâtre
Comme
lourd
Est
mon bras
C’est
un décombre
Gris
qui rayonne
Évanoui
pourtant
Mais
gras
Il
me pique
Anguille
d’aiguilles
Ressasse
une chaleur
Enfuie
Ce
dont on ne peut pas varier
C’est
la terre
Mais
il y a l’œil
Un troisième
Qui
me ente
Est-ce
mon bât ?
12-18
x 2011
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire