Dans
le fracas
L’ombre
mécane
Les
yeux clos
S’épouser
Pour
se détacher
S’approcher
Et se
scinder
Laisser
la plaie
Sur
les lèvres
Offrir
Le
dos
Au
passé
À
l’illusion
De
la faim
Peintures
de guerre
Au
teint noir
De
l’âme froide
Corolles
profondes
Taillent,
inextinguibles, le regard
Comme
une marée de soie
Elles
me ferrent
Tenant
la puissance
Nue
de la vie
La
douleur
Que
l’on terre
26
viii-16 ix 2012
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