Allonge sur un lit bleu
L’oreille collée au silence
À la musique de l’absence
Aux plis de la nuit
Qui se froisse
Sur ma peau
Vive comme une chaux
Conte les pas
De ces doigts
Qui n’existent pas
Respire le lait
Bleu de l’eau-rigine
L’effluve de Morphée
Et me dissous dans le rêve
D’une caresse, un murmure
Sur les lèvres, un souffle
Au cœur, une carence
Qui rayonne
L’orbe bleuté
Qui m’encercle
Et me porte
Une houle
De silence
L’oreille collée au silence
À la musique de l’absence
Aux plis de la nuit
Qui se froisse
Sur ma peau
Vive comme une chaux
Conte les pas
De ces doigts
Qui n’existent pas
Respire le lait
Bleu de l’eau-rigine
L’effluve de Morphée
Et me dissous dans le rêve
D’une caresse, un murmure
Sur les lèvres, un souffle
Au cœur, une carence
Qui rayonne
L’orbe bleuté
Qui m’encercle
Et me porte
Une houle
De silence
8-9 i 2013
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