Murmure
Il y a une noix
Qui roule
Au fin fond
De mon sommeil
Un bruit sourd
Que je cherche
Et qui me dit
L’épaisseur de la nuit
Une cicatrice
Qui respire encore
Dans les replis
De mon oreille
Et toujours cette faïence
Qui s’étale sous la peau
Ce troublant silence
Cérame au bout des doigts
13-14 xi 2008
La mort de l’Autre : une double mort, car l’Autre est déjà la mort
et pèse sur moi comme l’obsession de la mort
M. Blanchot, L’écriture du désastreIl y a une noix
Qui roule
Au fin fond
De mon sommeil
Un bruit sourd
Que je cherche
Et qui me dit
L’épaisseur de la nuit
Une cicatrice
Qui respire encore
Dans les replis
De mon oreille
Et toujours cette faïence
Qui s’étale sous la peau
Ce troublant silence
Cérame au bout des doigts
13-14 xi 2008
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