Prendre
sa main
Comme
une rose
Fermée
Aller
cueillir
L’épiphanie
Sur
sa joue
Efflorer
Les
paupières
De
sa voix
Besoin
farouche
De
boire le silence
À
pleines dents
S’illuminer
Du
pli carmin
Pour
s’enfouir
Me
voici
Au
temps revenu
À
la distance
Au
long nuage
Qui
a ceint
Mon
sommeil
À
l’ombre
De
mon affection
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iv- 1er v 2012
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