Il y a ce visage
Dans ma tête
Des bribes,
Un profil
Les fragments
D’un savoir plus ancien
Une mâchoire qui s’anime
Une oreille découverte
Un cou avide
Auquel se jettent
Mes souvenirs
L’angle de sa peau
Forme une étrange lame
Qui s’échappe de mes doigts
Et toujours je reviens
Au triangle latéral
De son regard
À la vasque de chair
Qui marque
Le double sceau
Revêtu de la tresse sur laquelle
S’écorchent mes doigts
Où gît la sève
De la caresse
Et toujours je mange
D’un œil oblique
Les ténèbres éternelles
De ses doigts compliqués
Toujours me hantent
L’étendue du désastre
Et la voix du grand animal
8-9 mars 2009
Des bribes,
Un profil
Les fragments
D’un savoir plus ancien
Une mâchoire qui s’anime
Une oreille découverte
Un cou avide
Auquel se jettent
Mes souvenirs
L’angle de sa peau
Forme une étrange lame
Qui s’échappe de mes doigts
Et toujours je reviens
Au triangle latéral
De son regard
À la vasque de chair
Qui marque
Le double sceau
Revêtu de la tresse sur laquelle
S’écorchent mes doigts
Où gît la sève
De la caresse
Et toujours je mange
D’un œil oblique
Les ténèbres éternelles
De ses doigts compliqués
Toujours me hantent
L’étendue du désastre
Et la voix du grand animal
8-9 mars 2009
1 commentaire:
c'est étrange je n'arrive pas à saisir ce poème ... Comme un conflit violent entre désir, amour et répulsion.
Enfin je voulais juste laisser un petit message pour un blog comme j'en vois pas assez souvent sur blogger.
Je trouve les photos intéressantes mais à travailler, je vois plus le résultat hasardeux qu'une émotion communiqué.
bonne continuation
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